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La Capitale des Gaules : LYON.

 

 

 

L'image la plus connue de la Capitale des Gaules est peut-être les quais de Saône...

 

 

  

Mais connaissez-vous son métro automatique, sans aucun chauffeur dans la rame ?

Contrairement à la ligne 14 du métropolitain parisien, il n'existe aucune protection quelconque entre les quais et les rails !

J'en déduis hâtivement que les lyonnais sont moins suicidaires ou agressifs que les parisiens...

 

 

 

 

 

J'aime bien me mettre à la première place afin de pouvoir "admirer" le paysage...

 

  

 

 

 

 

 

 

Mais revenons en surface pour circuler dans les traboules du vieux Lyon, dans les quartiers St.-Jean, St.-Paul et St.-Georges.

 

 

   

 

 

 

  

Ces traboules nous font découvrir des cours intérieures plus étonnantes, plus charmantes, plus intimistes, les unes que les autres. Ces demeures renaissance ont fréquemment 4 étages d'origine, les étages supplémentaires ayant été rajoutés au 19ème siècle.

 

   

 

 

 

 

Le caractère renaissance italienne de celle-ci est particulièrement marqué.

 

 

 

 

 

 

 

La tour-escalier de celle-là est également caractéristique du style de l'époque, fortement inspiré de l'art italien.

 

 

   

 

 

 

 

 

 

Cette cour ressemble, à s'y méprendre, à la précédente. Son architecture est cependant plus simple dans sa décoration.

 

 

   

 

 

 

 

 

Cette cour est beaucoup plus grande avec son escalier central...

 

 

  

 

 

 

Une autre cour, très étroite. La lumière du jour pénètre à peine jusqu'au sol. C'est l'une des plus petites de LYON.

 

 

 

  

 

 

  

L'amphithéâtre des trois Gaules fut édifié en l'an 10 après J.C. par Caius Julius Rufus, prêtre de Rome et d'Auguste.

Cette arène fut illustrée en août 177 par le martyre des chrétiens dont l'esclave Blandine, la Phrygienne, qui périt sous les cornes d'un taureau... les lions n'en voulaient pas !

 

 

Pour connaître la vie à LYON durant l'époque romaine, je vous recommande vivement la lecture du roman de François FONTAINE "Blandine de Lyon" aux éditions Julliard.

 

 

 

 

 

La rue du Boeuf, dans la quartier St.-Jean, est facilement identifiable avec cette sculpture au coin de la place Neuve-St.-Jean.

 

  

 

 

 

 

  

La cathédrale (ou "primatiale") Saint-Jean fut commencée au 11 ème siècle, mais la façade date du 14 et 15ème siècle.

C'est ici, en 1600, que Henri IV épousa Marie de Médicis.

Les trois portails, décorés de quadrilobes dans les gâbles, étaient ornés de statues qui furent détruites durant les guerres de religion par les troupes du baron des Adrets.

   

  

 

 

 

 

 

L'horloge astronomique de la cathédrale se situe dans le croisillon gauche. 

L'horloge date également du 14 ème siècle, et sonne un "Hymne à la St.-Jean" pendant que des figurines représentant l'Annonciation défilent. 

Un chant du coq clôt le spectacle !

 

   

 

 

 

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L'herboristerie sur la place St.-Jean, devant la cathédrale du même nom, est l'une des rares rescapées de France.
En effet, de diplôme n'est plus préparé depuis de nombreuses années et la profession est en voie de disparition.

Ce magasin est resté comme à la fin du siècle dernier, extraordinaire...

 

  

Changeons de quartier pour aller sur la place des Terreaux admirer l'Hôtel de Ville et la fontaine en plomb du sculpteur BARTOLDI qui décore cette célèbre place. Les quatre chevaux symbolisent les fleuves allant à l'océan.

La place tire son nom du comblement, au moyen de terres rapportées ou terreaux, d'un ancien lit du Rhône dont le confluent se trouvait tout près de cette place à l'époque romaine.

   

 

 

 

 

 

Nous sommes au coin de la place Bellecour et de la rue de la Barre. Une roue semble être une timide réplique de celle de Paris ...

La place Bellecour est l'une des plus grandes de notre pays (310m x 200 m).  

 

    

 

Cette grande place Bellecour est dominée par l'étrange silhouette de la Basilique de Fourvière. Au centre trône la statue équestre de Louis XIV.

  

 

 

Revenons sur les quais de Saône pour regarder cet étonnant immeuble dont toute la façade borgne côté sud, est décorée de trompe-l'oeil saisissant de réalisme !

 

 

  

 

 

 

J'envie parfois ces mariniers qui ont le plaisir, en passant à Lyon, de pouvoir admirer la Cathédrale St.-Jean et Fourvière où nous allons nous rendre dans la page suivante...

 

 

 

 

 

Suite de la balade dans LYON

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